vendredi 26 septembre 2025

Correction texte La chèvre égarée - 7éme année - Module2

Correction texte La chèvre égarée - 7éme année - Module2

Résumé :

Antoun, un berger, entend la voix d’un voisin qui appelle au loin car il a perdu sa chèvre. Il lui répond qu’il ne l’a pas vue, puis retourne à ses brebis. Pourtant, cette voix continue de résonner dans sa tête et le trouble. En rentrant chez lui, il raconte à sa femme Chafika la perte de l’animal et pense au malheur du voisin. Mais sa femme, préoccupée par le repas, détourne la conversation. Antoun reste sensible à la détresse de l’autre, tandis que son entourage minimise l’importance de cette perte.

Je découvre le texte :

– Les deux bergers se trouvent dans la montagne : l’un en haut de la pente et Antoun plus bas, près de ses brebis.

– Non, ils ne se connaissent pas vraiment, ils ne se voient pas directement, mais ils communiquent seulement par la voix qui résonne à travers la montagne.

– Antoun éprouve de la compassion et de la solidarité : il pense sans cesse à la détresse de son voisin et se sent troublé par la perte de la chèvre, alors que son entourage reste indifférent.

J’approfondis ma lecture :

– Antoun pense sans arrêt au problème de son voisin. Cela se voit car la voix du berger « s’était engouffrée quelque part dans sa tête » et elle « martelait : As-tu vu ma chèvre ? ». Il se donne même de petites tapes sur le crâne pour essayer de l’oublier.

– L’idée qui ne le quitte pas est que le voisin a perdu sa chèvre et qu’il doit être malheureux. On la retrouve surtout au passage où il dit à sa femme : « Il ne doit pas pouvoir manger ce soir ! Mais le voisin ! Celui qui a perdu sa chèvre… » (dernier paragraphe).

– Non, sa femme ne partage pas son souci. Elle reste concentrée sur le repas et lui dit seulement de venir manger la soupe et les feuilles de vigne farcies.

– Le texte nous apprend que ces bergers mènent une vie simple et rude dans la montagne : ils gardent leurs troupeaux, comptent les bêtes par les pattes pour passer le temps, vivent modestement dans de petites maisons, et les repas (comme la soupe ou les feuilles de vigne) représentent un moment important de leur quotidien.

J’apprécie le texte :

Antoun ne connaît pas son voisin, mais il s’inquiète sincèrement pour lui. Cela montre qu’il est solidaire, compatissant et humain. Il possède aussi une grande sensibilité : il se met à la place de l’autre, ressent sa peine et pense à son malheur avant même de profiter de son propre repas.

👉 Ces qualités font de lui un personnage généreux et attentionné, qui incarne l’esprit d’entraide entre les hommes.

J’écris à mon tour :

« Comprends-moi, je ne peux pas rester indifférent. Je ne fais que m’inquiéter pour ce voisin qui a perdu sa chèvre. Rien que d’y penser, cela me coupe l’appétit. »


0 commentaires

Enregistrer un commentaire