lundi 29 septembre 2025

Correction texte L’escapade - 7éme année - Module3

Correction texte L’escapade - 7éme année - Module3

Résumé du texte :

Ernest retrouve son troupeau de vaches qui a brisé l’enclos pour gagner les pâturages en montagne. Là-haut, les bêtes sont plus belles, propres, luisantes, paisibles et bien nourries, bien différentes de celles enfermées derrière une clôture. Ernest les admire ainsi et préfère les voir libres, loin des mouches et de l’herbe abîmée.

Il s’approche doucement d’elles pour leur parler et les caresser, mais la Rousse s’écarte vivement et le troupeau s’éloigne. Contrairement à d’autres paysans qui auraient crié ou frappé, Ernest continue calmement à leur parler, souriant de leur tranquillité. Les vaches se contentent de brouter un peu d’herbe.

Ernest comprend qu’elles sont heureuses dans ce paradis de montagne et décide de les laisser profiter encore. Quand viendra la neige et le froid, il reviendra les chercher pour les ramener à la ferme.

Je découvre le texte :

Les vaches d’Ernest sont : à la montagne.
Les bêtes sont maintenant : heureuses.
Ernest veut que ses vaches : rentrent avant le grand froid. ✅

J’approfondis ma lecture :

1- Ernest aime bien ses vaches. On le voit car il les admire, il les trouve belles, paisibles et repues. Il leur parle doucement, sans les brusquer ni les frapper comme d’autres paysans. Il sourit en les regardant, les appelle « mes jolies » et préfère les voir libres à la montagne plutôt qu’enfermées derrière une clôture.
2- Les bêtes mènent une vie nouvelle. Avant : elles étaient harcelées par les mouches et les taons, elles mangeaient de l’herbe rase, piétinée et plusieurs fois broutée, elles étaient sales avec de la boue sèche et restaient enfermées derrière une clôture. Maintenant : elles sont tranquilles et paisibles, elles mangent une herbe fraîche et abondante, elles sont propres et luisantes et elles vivent libres dans les pâturages de montagne.
3- Ernest ne se comporte pas comme les autres paysans. Alors qu’eux auraient crié, menacé ou frappé avec un bâton, lui continue de parler doucement à ses vaches et reste patient, calme et respectueux.
4- Les expressions qui montrent que les animaux communiquent entre eux et qu’Ernest les comprend bien sont : « Elles l’avaient regardé venir vers elles avec une sorte de sympathie et beaucoup d’ironie », « Elles avaient seulement cligné leurs yeux brillants », « Blanche et la jeune Bertille avaient poussé des soupirs », et aussi quand Ernest leur dit : « Vous êtes bien ici mes jolies, vous êtes au paradis ».

J'apprécie le texte :

Oui, le texte illustre bien cette idée. Les vaches d’Ernest sont décrites comme plus belles, plus paisibles et plus heureuses lorsqu’elles sont libres dans les pâturages de la montagne que lorsqu’elles sont enfermées dans un enclos. Elles ont retrouvé leur propreté, leur vigueur et une nourriture abondante. Ernest lui-même le reconnaît : il aime les voir ainsi, loin des mouches et de l’herbe usée, vivant dans ce « paradis ». Cela montre que le vrai bonheur pour un animal, c’est bien d’être libre dans la nature, et non enfermé.

J’écris à mon tour :

Contrairement à ce qui se passe dans ce texte, les animaux sont souvent enfermés dans des cages ou attachés, privés de liberté et mal nourris. Cela me rend triste parce qu’ils souffrent et ne peuvent pas profiter de la nature comme les vaches d’Ernest.

0 commentaires

Enregistrer un commentaire