Correction texte La terre en colère - 7éme année - Module4
Résumé du texte :
Le 18 avril 1906, à San Francisco, un violent tremblement de terre secoue la ville dès l’aube. En une minute, les murs s’effondrent, le sol se fissure, les rails se tordent et les habitants paniqués fuient dans la rue. Peu après, les secousses reprennent et les dégâts s’aggravent.
Sous la terre, les conduites de gaz explosent et s’enflamment, tandis que l’eau, coupée, manque pour éteindre les incendies. Comme la plupart des maisons sont en bois, le feu se propage rapidement. Pendant trois jours, les pompiers tentent de maîtriser les flammes, allant jusqu’à détruire eux-mêmes des bâtiments pour les arrêter.
À cette catastrophe s’ajoute un raz de marée provoqué par le séisme, qui déferle sur la ville au bord du Pacifique. En quelques jours, la belle San Francisco n’est plus qu’un amas de ruines fumantes, victime à la fois du tremblement de terre, du feu et du tsunami.
Je découvre le texte :
Le 18 avril 1906, la ville de San Francisco a été détruite par un tremblement de terre.Ce jour-là, la terre a tremblé plusieurs fois.
Trois jours après, la ville est complètement détruite. ✅
J’approfondis ma lecture :
– Où et quand se passe l’action ?
L’action se passe à San Francisco, en Californie (États-Unis), le 18 avril 1906 à l’aube.
– Quelles sont les conséquences du séisme ? Selon quel ordre sont-elles présentées ?
Les conséquences sont présentées dans l’ordre suivant :
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Les maisons tremblent, les plafonds tombent, les murs s’écroulent.
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Les rues se fissurent, les rails se tordent, le sol se bombe.
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Les conduites de gaz et d’eau se cassent.
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Le gaz s’enflamme → déclenche un gigantesque incendie.
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La ville entière finit en ruines fumantes après trois jours.
– Qu’est-ce qui rend la situation plus grave ?
La situation est aggravée par le fait que :
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les conduites de gaz explosent et provoquent des incendies,
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l’eau est coupée, donc les pompiers ne peuvent pas éteindre le feu.
– Dans ce récit, on explique un autre phénomène naturel qui vient s’ajouter au premier. Quel est ce phénomène ?
Il s’agit d’un raz de marée (tsunami), provoqué par le séisme en mer, qui déferle sur la ville.
J'apprécie le texte :
En lisant ce texte, j’éprouve un sentiment de peur et de tristesse. On sent la brutalité de la nature et la fragilité de l’homme face à une catastrophe si soudaine.
Ce qui me touche surtout, c’est le contraste entre l’élégante ville de San Francisco avant le séisme et l’amas de ruines fumantes après trois jours seulement. On imagine les habitants paniqués, les maisons détruites, le feu incontrôlable et enfin le raz de marée qui achève de tout ravager.
Cela donne un sentiment d’impuissance, mais aussi d’émotion en pensant aux personnes qui ont tout perdu en si peu de temps.
J’écris à mon tour :
Une vague géante surgit et vient déferler sur la ville, emportant tout sur son passage. Les rues sont inondées, et les gens affolés courent de tous côtés pour tenter de fuir, mais l’eau avance plus vite qu’eux. En quelques instants, le raz de marée transforme la ville en un immense champ de ruines.
J’enrichis mon vocabulaire :
1 – Avec les verbes se réveiller en sursaut, s’affoler, espérer, admirer, craindre
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Le volcan vient de s’éveiller. Les habitants qui s’affolent courent dans toutes les directions. Ils craignent d’être pris dans la lave.
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Les vacanciers, surpris par la vague géante, se réveillent en sursaut et cherchent partout leurs proches.
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Au pôle Nord, les explorateurs plantent leur tente et ils sortent pour admirer le merveilleux coucher du soleil.
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Le pêcheur de perles ouvre les coquilles les unes après les autres. Il espère y trouver la perle de ses rêves.
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Beaucoup de marins évitent de prendre la mer par mauvais temps : ils craignent de connaître le même sort que tant de malheureux naufragés.
2 – Avec les verbes voir, regarder, entendre, écouter
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Le pêcheur est sur le point d’ouvrir la grosse coquille. Sa femme fait semblant de regarder ailleurs.
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À la surface de la perle, le pêcheur voit se dessiner des rêves.
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L’explorateur avance seul dans la forêt. Soudain, il entend un bruit derrière lui. Il se retourne et voit un tigre.
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L’enfant laisse tomber une grosse pierre dans le puits puis il écoute attentivement pour apprécier la profondeur du gouffre.
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