Correction texte L’hiver à la campagne - 7éme année - Module2
Résumé :
Le narrateur, un enfant de la ville, est envoyé à la campagne chez ses grands-parents parce que sa mère est malade. Très vite, il souffre du froid : ses mains et ses pieds gonflent, se couvrent de crevasses et deviennent douloureux. Son grand-oncle remarque sa souffrance et cherche à comprendre. L’enfant explique que ce n’est pas seulement le froid, mais surtout les changements de température près du feu qui aggravent ses douleurs.
Touché par l’état de l’enfant, le grand-oncle décide qu’il faut moderniser la maison et installer un chauffage central, même si cela semble impossible et coûteux à la campagne. Malgré les objections de la grand-mère et du grand-père, il insiste : ce n’est pas pour lui, mais pour l’enfant, trop fragile pour supporter les conditions rudes de l’hiver à la campagne.
Je découvre le texte :
– Quel problème l’enfant rencontre-t-il l’hiver chez ses grands-parents ?
Il souffre du froid : ses mains et ses pieds gonflent, se couvrent de crevasses et lui font très mal.
– Au début, les membres de la famille le remarquent-ils ?
Non, au début ils ne font pas attention à son état.
– Quel est le personnage qui se préoccupe le plus de la santé de l’enfant ?
C’est le grand-oncle, car il veut installer le chauffage central pour éviter à l’enfant de souffrir.
J’approfondis ma lecture :
– Dans quel état les mains et les pieds de l’enfant sont-ils ? Relève les mots qui justifient ta réponse.
Ils sont enflés, lourds, douloureux, gercés et crevassés. → « mes phalanges enflèrent et devinrent lourdes et douloureuses », « les premières crevasses apparurent », « mes pieds enflés, gercés ».
– Comment cette famille fait-elle pour se chauffer ? Est-ce suffisant ?
Ils se chauffent avec la cheminée et de petits poêles, mais ce n’est pas suffisant : la chaleur n’est pas régulière et le froid revient vite.
– Quelle solution le grand-oncle propose-t-il ? Qu’en pensent la grand-mère et le grand-père ?
Il propose d’installer le chauffage central. La grand-mère trouve cela trop coûteux et impossible à la campagne, et le grand-père pense que ce sont des « dépenses somptuaires ».
– Le grand-oncle sait comment parler aux autres. Comment le narrateur nous fait-il comprendre cela ?
Le narrateur montre qu’il observe en silence, réfléchit longuement et parle avec calme et détermination. Ses paroles touchent les autres parce qu’il met en avant la santé fragile de l’enfant et non son propre confort.
J’apprécie le texte :
Je pense que cet enfant est courageux et discret. Il supporte la douleur sans se plaindre et quand il en parle, il le fait avec douceur pour ne pas blesser ou déranger les adultes. Cela montre qu’il est sensible et respectueux.
L’auteur a sans doute fait ce choix pour souligner la fragilité et la délicatesse d’un enfant de la ville face aux durs hivers de la campagne. En même temps, cela met en valeur la bonté et la générosité du grand-oncle, qui décide d’agir en voyant la souffrance silencieuse de l’enfant.
J’écris à mon tour :
« Maman, je veux te raconter ce que mon grand-oncle a fait pour moi. Grâce à lui, je n’ai plus autant souffert du froid. Il s’est fait du souci pour mes mains et mes pieds quand il a vu qu’ils étaient enflés et gercés. Il a tout de suite pensé à trouver une solution pour que je sois mieux. Il a même décidé d’installer le chauffage central dans la maison pour moi. J’ai compris qu’il m’aimait beaucoup et qu’il voulait vraiment me protéger. »
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