vendredi 26 septembre 2025

Correction texte Métro - 7éme année - Module2

Correction texte Métro - 7éme année - Module2

Résumé :

Le narrateur raconte une expérience dans le métro parisien. Il ne voulait pas monter dans la rame bondée mais son père l’a poussé à y entrer. Coincé entre des voyageurs, il est comprimé, étouffé et perd ses repères (bras, jambes, espace). À un moment, son père descend du métro sans vérifier qu’il le suit, et l’enfant se retrouve seul au milieu de la foule. Finalement, il se rend compte qu’il est arrivé au terminus et peut descendre.

Je découvre le texte :

1– Le problème de la vie en ville que ce texte pose est le transport : l’expérience difficile de prendre le métro bondé.

2– Bernard Friot choisit de faire parler l’enfant narrateur (le fils) qui raconte la scène à la première personne.

J’approfondis ma lecture :

– Ces gens voyagent dans des conditions très difficiles, entassés dans une rame de métro archi-bondée, serrés les uns contre les autres, presque sans air. Ils se bousculent, s’encastrent et se ruent dans le wagon sans se soucier des autres.

– L’enfant vit cette situation avec angoisse et malaise : il étouffe, il a l’impression que son corps est découpé en morceaux, il est coincé, perdu et finit par se sentir seul et abandonné.

– Le père ne se rend pas compte de ce qui arrive à son fils. Pressé, il descend à la station prévue sans vérifier que l’enfant le suit. Cela montre son indifférence ou son inattention, car il ne s’assure pas de la sécurité de son fils.

J’apprécie le texte :

Oui, l’auteur a bien réussi à nous faire sentir le problème du transport en ville.

Il le fait en décrivant avec beaucoup de détails sensoriels la foule oppressante : les corps qui s’écrasent, la difficulté de respirer, l’impression d’être « découpé en morceaux ». Les verbes comme s’encastrer, se ruer, submerger donnent une image violente du métro bondé.

De plus, en faisant parler un enfant, Bernard Friot accentue le malaise : on partage sa peur, son sentiment d’étouffement et d’abandon. Cela rend la scène encore plus frappante et nous fait ressentir concrètement la difficulté du transport en ville.

J’écris à mon tour :

L’autre jour, je prenais le bus à une heure de pointe. Il y avait des gens tassés les uns contre les autres, chacun essayant de réussir à s’engouffrer à l’intérieur. J’ai remarqué une vieille dame qui avait du mal à se frayer un chemin. Alors, j’ai décidé de venir en aide à cette personne : je l’ai laissée passer devant moi et j’ai demandé aux autres de faire attention à elle. Grâce à cela, elle a pu monter plus facilement et trouver une place assise.


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