jeudi 2 octobre 2025

Correction texte Au cirque - 8éme année - Module2

Correction texte Au cirque - 8éme année - Module2

Je découvre le texte :

1) Je lis le poème de façon expressive
→ Cela veut dire qu’il faut lire le texte en respectant le rythme et en mettant de l’intonation, comme si tu assistais au cirque : étonnement pour le magicien, tristesse pour le clown.


2) Je relève les mots qui riment ensemble

  • venu / tortue

  • soir / mouchoir

  • canard / tartare

  • ennuyé / percé / dessiné / enrhumé

  • tristes / glissent

  • enfariné / percé / ennuyé / dessiné

(On retrouve des rimes variées, souvent plates et embrassées.)


3) De quel spectacle s’agit-il dans ce poème ?
→ Il s’agit d’un spectacle de cirque, où un magicien fait apparaître et parler des animaux, et où le clown (Auguste) devait participer mais était absent car enrhumé.

J'analyse le texte :

1) Quel tour le magicien a-t-il joué ?
→ Le magicien a sorti d’un petit mouchoir un lapin, une tortue puis un canard. Ensuite, il a fait parler ces animaux en différentes langues (chinois, grec et tartare).


2) Le clown a-t-il participé au spectacle ? Pourquoi ?
→ Non, le clown n’a pas participé car il était enrhumé.


3) Qui l’a remplacé ?
→ C’est Auguste, un autre clown, qui a dû jouer le rôle, en faisant l’équilibriste sur un tonneau percé.


4) Quel portrait le poète fait-il de l’équilibriste ?
→ Le poète le décrit avec des yeux tout ronds et tristes, le visage enfariné et de grosses larmes qui glissent sur ses joues. C’est un portrait mélancolique et attendrissant.

J'apprécie le texte :

« Ah ! si le clown était venu !
Il aurait bien ri, mardi soir :
Un magicien en cape noire
A tiré d'un petit mouchoir
Un lapin, puis une tortue
Et, après, un joli canard.
Puis il les a fait parler
En chinois, en grec, en tartare. »

J'enrechis mon vocabulaire :

Non Disponible .

J'écris :

Un jour, je suis allé au théâtre pour assister à une pièce comique. La salle était pleine et tout le monde attendait le lever du rideau avec impatience. Dès que les comédiens sont entrés en scène, l’ambiance est devenue joyeuse.

Celui qui m’a le plus fait rire était un comédien habillé d’un costume trop grand pour lui : son pantalon tombait sans cesse et il devait le rattraper au dernier moment. Il avait un grand chapeau qui glissait toujours sur ses yeux, ce qui le faisait trébucher. Sa voix était exagérée, parfois grave, parfois aiguë, et il imitait les autres personnages d’une façon très drôle.

Je n’arrivais pas à m’arrêter de rire en le regardant. Grâce à lui, cette soirée au théâtre reste pour moi un souvenir inoubliable, rempli de bonne humeur.

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