Correction texte A bicyclette de Paris à Saïgon - 8éme année - Module3
Je découvre le texte :
J'analyse le texte :
Ce qui distrait le narrateur dans sa course monotone, c’est l’apparition d’un tournant, chose rare sur cette route plate et droite.
Il voit un tigre au milieu de la route. Dans le troisième paragraphe, il emploie le terme « le félin » pour le désigner.
Le narrateur ne s’est pas sauvé car il était surpris, paralysé et roulait à bonne allure sans pouvoir freiner. Non, il n’a pas heurté l’animal : le tigre s’est écarté et a disparu dans le fourré.
À la fin de son aventure, le narrateur éprouve de la peur intense. On le voit quand il dit qu’il tremble et qu’il connaît « pour la première fois ce que l’on doit appeler la peur ».
J'apprécie le texte :
J'enrechis mon vocabulaire :
1) Explication des expressions et phrases
a- « Je suis pris de court » : être surpris sans avoir le temps de réagir.
👉 Exemple : Quand le professeur m’a interrogé sans prévenir, j’ai été pris de court.
b- « Je ne peux pas freiner pour rebrousser chemin » : ne pas pouvoir ralentir pour faire demi-tour.
👉 Exemple : En voyant l’obstacle sur la route, je n’ai pas pu freiner pour rebrousser chemin.
c- « Je reste sur ma lancée en roue libre » : continuer à avancer grâce à l’élan, sans pédaler.
👉 Exemple : Dans la descente, je reste sur ma lancée en roue libre.
2) Nom d’agent correspondant
a- Le narrateur roule à bicyclette : c’est un cycliste.
b- Anne roule en automobile : c’est une automobiliste.
3) Répartition des verbes
-
Pour le cycliste : pédaler, freiner, ralentir.
-
Pour l’automobiliste : être au volant de, démarrer, freiner, ralentir.
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Pour les deux : rouler, freiner, ralentir.
4) Jeu de devinette (habitations)
a- Je suis en toile, on me déplace à dos de chameau → la tente.
b- Les pauvres gens m’ont construit autrefois, avec n’importe quoi… → la baraque.
c- On m’entoure souvent d’un jardin, on me construit dans de beaux quartiers… → la villa.
d- On ne me construira jamais en Tunisie… → l’igloo.
e- De toutes les maisons, je suis la plus haute, je touche le ciel… → le gratte-ciel.
f- Je ne suis pas aussi haut que mon cousin américain… → l’immeuble.
J'écris :
Par un beau matin de printemps, je roulais à bicyclette sur une route de campagne bordée de champs fleuris. Le vent doux caressait mon visage pendant que je pédalais tranquillement. À l’approche d’un virage, j’ai dû ralentir pour éviter un chien qui traversait la route. Puis, rassuré, j’ai continué à freiner légèrement avant de reprendre mon élan.
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