Correction texte Voyage - 8éme année - Module3

Correction texte Voyage - 8éme année - Module3

Je découvre le texte :

1) Comment appelle-t-on un texte qui a cette forme ?
➡️ On appelle ce texte un poème. Il est écrit en vers et organisé en strophes.

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2) Comment appelle-t-on chacune de ses parties ? De combien de vers chaque partie est-elle composée ?
➡️ Chaque partie s’appelle une strophe.
Dans ce poème :

• La 1ʳᵉ strophe a 4 vers.

• La 2ᵉ strophe a 4 vers.

• La 3ᵉ strophe a 4 vers.

👉 Donc chaque strophe est un quatrain (strophe de quatre vers).

J'analyse le texte :

1) «Le train s’évade de la gare… quitte la ville… s’élance». Sur quelle caractéristique du train, le poète insiste-t-il à travers l’emploi de ces trois verbes ?
➡️ Ces verbes mettent en valeur la rapidité, le mouvement et la force d’élan du train. Ils montrent que le train part vite, quu’il s’arrache à la ville et s’élance puissamment dans l’espace.

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2) Le poète se trouve à l’intérieur du train. Quels sont les deux indices qui le montrent dans la deuxième strophe ? Que désigne l’expression «l’étroite et chaude prison» ?
➡️ Les deux indices sont :

• «Le front à la vitre fermée» → il regarde par la fenêtre.

• «de l’étroite et chaude prison» → il décrit l’intérieur de son compartiment.

👉 L’expression «l’étroite et chaude prison» désigne le wagon du train, dans lequel il est enfermé malgré son désir d’espace et de liberté.

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3) Relève dans les deux dernières strophes trois mots qui expriment la fuite du paysage devant les yeux du poète.
➡️ Les mots sont :

• «s’évanouir» (strophe 2)

• «fuite» (strophe 2)

• «ne se forme que pour mourir» (strophe 3)

Ces termes traduisent la disparition rapide des paysages qui défilent.

J'apprécie le texte :

L’image qui me plaît le plus est : «A chaque instant le paysage ne se forme que pour mourir».

➡️ Elle est très bbelle parce qu’elle exprime à la fois la vitesse du train et la fragilité des paysages qui apparaissent et disparaissent aussitôt. On a l’impression que le voyage transforme la nature en une suite d’images éphémères, comme un film qui défile trop vite.

👉 Elle me touche aussi parce qu’elle rappelle que les beaux moments passent vite, un peu comme les paysages vus d’un train : il faut en profiter avant qu’ils ne disparaissent.

J'enrechis mon vocabulaire :

1) Synonymes du verbe « s’évader »

a- Le détenu s’est évadé de la prison à bord d’un hélicoptère.
➡️ s’échapper

b- Les vacances à l’étranger ont été pour moi une occasion de m’évader de la vie de tous les jours.
➡️ se libérer ou s’échapper (au sens figuré)

c- « Le train s’évade de la gare »
➡️ partir ou s’éloigner

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2) Sens propre ou figuré du mot « voyage »

a- Danns le train, Paul voyage en 1ère classe.
➡️ Sens propre

b- La nuit, je voyage dans mes rêves.
➡️ Sens figuré

c- Grâce à la télévision, on voyage sans se déplacer.
➡️ Sens figuré

d- Dans ma ville, il y a deux agences de voyage.
➡️ Sens propre

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3) Compléter avec la bonne préposition

a- Marie préfère voyager en< bateau, alors que son frère aime voyager à bicyclette.

b- Ma voisine se promène souvent à pied, tandis que son mari ne se déplace que à moto.

c- Les astronautes voyagent dans l’espace à bord d’ une fusée.

d- Les paysans se rendent au marché à dos d’ âne ou de cheval.

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4) Compléter le texte

Dans le hall de la gare, quelques voyageurs retardataires s’empressent à acheter leurs tickets.
Dehors, les autres attendent sur le quai. Aussitôt que la locomotive apparaît au bout du chemin de fer, les plus impatients se précipitent à proximité des portières en dépit des avertissements du chef de gare.
À l’arrêt du train, les portières s’ouvrent automatiquement. Les voyageurs montent alors et découvrent qu’il y a de la place pour tous les passagers.

J'écris :

En regardant par la vitre du train, je vois le paysage défiler rapidement. Les champs verts s’étendent à perte de vue, coupés parfois par de petites routes sinueuses. Des maisons aux toits rouges apparaissent puis disparaissent aussitôt. Plus loin, un village s’annonce avec son clocher qui se dresse au-dessus des arbres. Les vaches paissent tranquillement dans les prairies, indifférentes au passage du train. Tout change si vite que chaque image ressemble à un souvenir qui s’efface déjà.